Avis sur les créatures qui déraillent :

Un vaste bazar ! Minelas ne comprend vraiment pas comment on peut laisser faire ça. Les créatures magiques sont pour lui soumises aux sorciers et ne devraient pas prendre le pas de cette manière. Il va falloir que quelqu'un trouve un solution pour rétablir l'équilibre, et vite !

Avis sur les évadés et les détraqueurs de Azkaban :

Il n'en a cure. Il se dit qu'il n'a rien à craindre des évadés qui sont en fait, tout comme lui bien souvent, des sang pur qui ne supportent pas l'idée d'un mélange avec les moldus. Minelas comprend les actes qu'ils ont pu commettre et qui les ont conduis en prison, lui-même est parfois tenté d'en commettre certains...

Avis sur le ministère et la coupe du monde de Quidditch :

Il adore le quidditch et est bien content que le ministère reste implacable sur le fait de laisser la CUP. Bien qu'il se demande parfois si cela ne va pas dégénérer tout de même à un moment ou à un autre. Et si oui, il en sera ! Pour le risque et l'adrénaline.

Avis sur le meurtre de Hogwarts :

Alors là, il s'en fiche comme de sa première chaussette. Pourquoi tout le monde s'extasie tant sur le cadavre de cette fille ? Qui s'en préoccupe réellement ? En tout cas le fils Malefoy ne va certainement pas pleurer sur son sort.

L'histoire en quelques mots :

Minelas Hades Malefoy. Fils unique de Batilda Malefoy et James Potter. Oui James Potter... Minelas est en quelque sorte l'erreur de jeunesse que James ne voudra jamais reconnaitre, comme il n'avouera jamais sa relation avec une Malefoy. Ainsi le fils de Bathilda ne sait pas qui est son père et à vrai dire, il n'en a que faire. Qu'importe, la blondeur de l'enfant et son regard clair comme signes distinctifs dont il se sert pour charmer - et manipuler - quiconque croise sa route. Et sous ses airs de jeune homme assuré et horriblement fier, il est... hors de question que l'on vous dise que c'est un jeune homme en réalité doux et fragile. Que nenni ! Minelas est un puriste, un serpentard, un Malefoy dans toute sa splendeur ! Tout a commencé le 14 avril 1976 à St Mangouste à Londres lorsque est né un petit bout aux yeux angéliquement clairs et au sourire pourtant un tantinet machiavélique. Il a grandi tranquillement dans une famille de sang pur, de puristes, de personnes ambitieuses et prêtes à tout pour réussir. D'ailleurs la famille a réussi à mettre la main sur une grande partie du ministère, leur conférant une assez grande renommée à travers toute la Grande-Bretagne. Ainsi Minelas, secondement et très justement prénommé Hades, a grandi au milieu de valeurs relativement extrémistes mais contre lesquelles il ne s'est jamais rebellé; elles lui semblaient et lui semblent toujours être les meilleures, la Vérité du monde magique avec un grand V.

Il a toujours souhaité être le meilleur dans tous les domaines. Très bon à l'école, ne serait-ce que pour sa fierté personnelle, il est également très bon au quidditch. Gardien de l'équipe de Serpentard, il a toujours rêvé de devenir joueur professionnel bien qu'il sache pertinemment que sa famille l'espère plus dans un département au ministère qu'autre chose. D'ailleurs, il pratique ce sport avec sa cousine, Fidelice. Les deux ne sont certes pas cousins directs puisque leurs mères sont elles-mêmes cousines, cependant ils passent depuis toujours énormément de temps ensemble. Liés comme frère et soeur, ils se partagent tout et surtout, ils sont identiques. Sur tous les plans. Et ils sont très certainement la cause l'un pour l'autre de leur caractère si... explosif.

Minelas est avant tout quelqu'un, comme dit plus tôt, de très fier. Dédaigneux envers les sangs de bourbe et autres aberrations sanguines, il ne jure que par les sang-pur. Machiavélique et un brin sadique, il utilise ceux qui n'ont pas trouvé grâce à ses yeux. Il se fiche totalement des autres, en dehors de lui-même, de sa presque-soeur "Fidy", de ses parents et de ses cousins. De quelques amis aussi. Mais Minelas n'est pas quelqu'un de très ouvert. Il a sa bande, ses victimes, ses convictions bien à lui. Il est également caractérisé par son impatience, sa grande force de volonté, sa loyauté sans limite en ceux qu'ils estiment voire qu'il aime - fait rare - et surtout par sa violence profonde. Violence qu'il tente de maîtriser mais qu'au fond il aimerait laisser s'exprimer. Pour se sentir libre de ses pulsions, libéré de son image de jeune homme qui blesse par les mots et par un Avada Kedavra bien placé, plutôt que par ses pulsions incontrôlées et incontrôlables le ramenant inévitablement à ce qu'il est au plus profond. Un impulsif de premier ordre qu'il vaut mieux éviter de provoquer.