Avis sur les créatures qui déraillent :

Pour elle si les créatures déraillent c'est parce que le monde magique déraille aussi. Azé craint ce qui va arriver. Si les créatures à la base inoffensives se mettent à attaquer dans tous les sens, quelle sera la suite ?

Avis sur les évadés et les détraqueurs de Azkaban :

Azélyès se dit qu'en tant que Gaunt elle ne devrait pas avoir de problèmes avec eux car après tout, elle vient d'une famille influente dans le monde magique non ? Ainsi pourquoi aurait-elle des raisons d'avoir peur ? Peut-être parce qu'elle ne se considère pas aussi charismatique que les autres membres de sa famille, allez savoir.. .

Avis sur le ministère et la coupe du monde de Quidditch :

La jeune femme ne joue pas au quidditch mais c'est quelque chose qui la fascine. Elle se dit que ce serait vraiment géant de pouvoir en voir une, mais vu la situation du monde, c'est peut-être un peu risqué quand même.

Avis sur le meurtre de Hogwarts :

Au départ, Azé a très mal réagi. Un meurtre à Poudlard ? Comment pouvait-on seulement oser ? Puis elle se souvint qu'elle était placée juste à côté de son frère et sa soeur : "C'était une sang-pur ? Non ? Alors on s'en fout", lâcha-t-elle sans conviction au fond d'elle-même.

L'histoire en quelques mots :

Azélyès est née dans le manoir Gaunt en Ecosse. Elle est la dernière d'une fratrie de trois enfants. Ainsi forcément à sa naissance elle s'est retrouvée être la plus choyée, la plus adorée mais par sa mère uniquement. En effet son frère n'était pas très branché affection et sa soeur était la petite chérie du paternel. Difficile en ce sens d'établir de grands liens de famille. La jeune femme a développé au cours des ans un esprit puriste bien différent du traditionnel mode de pensée des Gaunt. En effet, son caractère s'apparente aujourd'hui plus à celui qu'avait une membre de la famille, la dénommée Merope Gaunt, celle qui était prête à épouser un moldu si elle n'avait pas du le droguer au philtre d'amour, chose évitée de justesse ! Ainsi Azélyès est quelqu'un qui a son petit caractère certes, mais en présence de sa soeur aînée c'est quelqu'un de très malléable. Azé a toujours voulu lui plaire, faire en sorte que sa distante de soeur, celle qui n'avait aucun problème à imposer sa volonté partout où elle passait, qu'elle la regarde, qu'elle la voit telle qu'elle était. Elle voulait s'entendre avec elle et gagner son estime. Sauf que la benjamine de la famille partait d'emblée avec un handicap : celui de n'arriver à parler fourchelang que quand elle parle dans son sommeil. Elle est tout à fait incapable de le parler comme on parle une langue d'un autre pays qu'on maîtriserait à la perfection. Le jour où Thybalt, le père s'en est rendu compte il a été on ne peut plus clair. Il a regardé sa femme Ursula en lui posant une question sans équivoque : est-ce ma fille ? Difficile dans cette situation pour Azélyès de se sentir aimée dans cette famille. Elle ne s'intéresse pas grandement à son frère en revanche. Comme quoi !